Cherbourg, son port, sa plage Napoléon. Une situation géographique exceptionnelle, un port accessible à chaque instant, au cœur de cette grande rade artificielle de 1500 hectares, imaginée par Vauban. Dès 1900, les compagnies transatlantiques anglaises américaines et canadiennes desservent New York, ainsi que Montréal, Québec et Rio de Janeiro. Le port s’écrit comme l’un des tous premiers ports européens des migrants vers le Nouveau Monde, jusqu’à 7 ou 8 escales par jour.
Mais Cherbourg c’est aussi son arsenal d’où sort en 1899, le Morse le premier sous-marin d’une très longue série pour le rayonnement de l’industrie du Nord-Cotentin.